Une semaine dans la vie de Stephen King, Alexandra Varrin



Auteur: Alexandra Varrin          
Titre Original: Une semaine dans la vie de Stephen King
Date de Parution : 3 septembre 2014
Nombre de pages : 244
Rentrée Littéraire 2014
Prix : 19,00€


Quatrième de couverture : « Il entre sans se presser, désinvolte. Un sourire au coin des lèvres, grand, un peu voûté, la démarche hésitante. Sous les flashes qui crépitent, malgré l’interdiction, ses yeux pétillent. Mi-gêné, mi-amusé, l’air de rien, il sort de sa coquille, prend quelques secondes pour observer la foule, curieux, vulnérable, perplexe. Le temps de traverser l’estrade, il endosse une nouvelle carapace, drapé dans le statut qui a réuni ici près de trois cents journalistes venus des quatre coins de la planète : celui de l’écrivain le plus célèbre au monde. »

Du 12 au 16 novembre 2013, Stephen King a passé une semaine à Paris pour promouvoir son nouveau livre, Docteur Sleep. L’occasion pour des milliers de lecteurs de rencontrer leur auteur fétiche, et pour Alexandra Varrin de transformer cet événement exceptionnel en véritable quête identitaire et introspective.
Au cours des cinq rendez-vous qui jalonnent cette semaine, elle se replonge dans l’œuvre monumentale de son idole, et poursuit, tout en interrogeant notre rapport à la fiction, son propre autoportrait.

Mon avis : Lorsque j'ai découvert qu'Alexandra Varrin sortait un cinquième roman et en plus sur la venue de Stephen King en France, je ne pouvais attendre et me devais de le lire. Car comme vous le savez peut-être Stephen King est l'un de mes auteurs favoris, voir même mon auteur favori.

Avant de lire ce roman, si vous me demandiez pourquoi Stephen King était tellement important à mes yeux, je n'aurais pas forcément su vous répondre. Mais en lisant « une semaine dans la vie de Stephen King » Alexandra m'a ouvert les yeux.

Stephen King matérialise ses démons, qui bien souvent sont les mêmes que nos propres démons, il n'est pas question pour moi de m'identifier a tel ou tel personnage de ses romans, mais donner une image à une peur subjective.
En plus de cette révélation que m'a faite indirectement Alexandra Varrin, j'ai pu vivre par procuration cet événement auquel je n'ai pu être présent et dont je rêver participer, mais le travail et la distance, on fait que je n'ai pu me permettre de monter à Paris.

Loin de moi la comparaison avec Alexandra, car je crois que chacun vit les rencontres à sa manière, mais elle m'a permis au moins de voir de l'intérieur ce que je n'ai pas pu voir de moi-même.

Je conclurai en remerciant Alexandra Varrin de partager avec nous ce moment à nous cette génération Stephen King. Dans ce roman elle parle de différents degrés de fan avec des caractéristiques différentes, pour ma part, je parlerais plus facilement de cette génération Stephen King qui vivons, rêvons, interprétons l'œuvre de Stephen King a notre manière.