Auteur: Ginette Kalinka
Lu par : Christina Crevillén
Titre Original: Retour à Birkenau
Date de publication : 12 février 2020
Durée : 02h08
Prix : 5,40€
Version Audible : 13,45€
Version Kindle : 8,99€
Version Kobo : 8,99€
Quatrième de couverture : « Moi-même je le raconte, je le vois, et je me dis c’est pas possible
d’avoir survécu… »
Arrêtée par la Gestapo en mars 1944 à Avignon avec son père, son petit
frère et son neveu, Ginette Kolinka est déportée à Birkenau : elle sera seule à
en revenir, après avoir été transférée à Bergen-Belsen, Raguhn et
Theresienstadt. Dans ce convoi se trouvent deux jeunes filles dont elle
deviendra l’amie, Simone Jacob et Marceline Rozenberg, plus tard Simone Veil et
Marceline Loridan-Ivens.
Ginette Kolinka raconte ce qu’elle a vu et connu dans les camps
d’extermination. Les coups, la faim, le froid. La haine. Le corps et la nudité.
La cruauté. Parfois, la fraternité. La robe que lui offrit Simone et qui la
sauva.
Aujourd’hui, à 95 ans, dans toutes les classes de France, et à Birkenau, où
elle retourne plusieurs fois par an avec des élèves, Ginette Kolinka se
souvient et se demande encore comment elle a pu survivre à « ça ».
Un enregistrement exceptionnel auquel Ginette Kolinka a participé en lisant
les premières et les dernières pages du livre et en donnant un entretien
inédit, plein de vie et de sagesse.
Il n’a certainement pas pire erreur que d’oublier notre histoire afin que
certains événements les plus atroces ne se reproduisent plus tel que la Seconde
Guerre mondiale et la solution finale voulue par Hitler et les Nazis contre le
peuple juif et autres minorités.
Retour à Birkenau est le récit de Ginette Kolinka, Ginette à aujourd’hui 95
ans et elle raconte avec ses mots et l’aide de Marion Ruggieri son histoire.
Car son histoire fait partie de notre histoire. Arrêtée par la Gestapo en mars
1944 avec son père, son petit frère et son neveu, Ginette Kolinka sera déportée
à Birkenau et elle sera la seule à revenir.
Sa famille fut certainement dénoncée plus pour sa militance au Parti
communiste plus que pour sa judéité. Mais en 1944, être juif était généralement
synonyme de déportation et camp de concentration.
Ginette n’est pas une intellectuelle, revenant des camps, elle décide
d’ailleurs de ne pas « embêter » les gens avec son histoire et préfère garder
pour elle, cette parenthèse dramatique et atroce de son existence. Elle déclare
d’ailleurs que si cela devait se reproduire elle étranglerait de ses propres
mains ses enfants pour qu’ils ne connaissent pas ce qu’elle a vécu.
Ce n’est que sur le tard, lorsque Steven Spielberg produit la liste de
Schindler et qu'ils prennent contact avec Ginette pour qu’elle raconte son
histoire, bien que selon elle, elle n’avait rien à raconté. Elle finit par
ouvrir le flux de sa mémoire et aujourd’hui elle raconte, dans toutes les
classes de France, son histoire pour que l’on n’oublie jamais.
Ginette, comme vous pouvez l’écouter dans l’extrait proposé, commence la
lecture des quelques pages de son récit. On la retrouve à la fin lors d’un
entretien. Dans cet entretien, Ginette Kolinka n’a pas de cesse de répéter que
le racisme n’est pas une solution.
Christina Crevillén, donne une lecture en toute simplicité, lecture qui met
en valeur un texte court, mais d’une grande intensité, non autant dans la
qualité littéraire de l’œuvre, mais dans son contenu, sa valeur historique.
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