Titre Original: On ne voyait que le bonheur
Date de Parution : 20 août 2014
Éditeur : JC Lattès
Nombre de pages : 360
Prix : 19,00€
18,05€
Quatrième de couverture : « Une vie, et j’étais bien placé pour le savoir,
vaut entre trente et quarante mille euros.
Une vie ; le col enfin à dix centimètres, le souffle court, la
naissance, le sang, les larmes, la joie, la douleur, le premier bain, les
premières dents, les premiers pas ; les mots nouveaux, la chute de vélo,
l’appareil dentaire, la peur du tétanos, les blagues, les cousins, les
vacances, les potes, les filles, les trahisons, le bien qu’on fait, l’envie de
changer le monde.
Entre trente et quarante mille euros si vous vous faites écraser.
Vingt, vingt-cinq mille si vous êtes un enfant.
Un peu plus de cent mille si vous êtes dans un avion qui vous
écrabouille avec deux cent vingt-sept autres vies.
Combien valurent les nôtres ? »
À force d’estimer, d’indemniser la vie des autres, un assureur va
s’intéresser à la valeur de la sienne et nous emmener dans les territoires les
plus intimes de notre humanité. Construit en forme de triptyque, On ne voyait
que le bonheur se déroule dans le nord de la France, puis sur la côte ouest du
Mexique. Le dernier tableau s’affranchit de la géographie et nous plonge dans
le monde dangereux de l’adolescence, qui abrite pourtant les plus grandes
promesses.