Les années douces Tome 2, Jiro Taniguchi



Auteur : Jiro Taniguchi
 Titre Original : Sensei no kaban
Date de Parution : 2011
Éditeur : Casterman
Nombre de pages : 230
Lu : Février 2011
Prix : 16€

 Mon Avis : Une seule chose à dire : Merci, merci Mr. Taniguchi.
Oui je sais j’ai le compliment facile pour ce mangaka, mais il faut reconnaitre qu’il sait faire de son art le manga, une œuvre inoubliable. C’est incroyable comme il a su retranscrire au plus juste par ses dessins ce que l’auteur Kawakami Hiromi nous décrivait avec ses mots.
Pour ceux qui ne connaisse pas le roman de Kawakami, je vous conseil réellement sa lecture. De quoi s’agit-il ? D’une histoire d’Amour, d’une histoire d’Amour avec un grand A, une histoire belle est pure entre Tsukiko , jeune trentenaire et son ancien professeur de japonais, qu’elle recroise un jour par hasard dans un café.
Ils vont s’aimer de cet amour tranquille, lent. Où l’un l’autre vont se connaitre petit à petit vivant ensemble des choses simples.
Cette histoire respire le bonheur, je ne sais pas vraiment comment le décrire, mais c’est une histoire d’amour entre deux êtres qui n’ont pas le même âge, l’une est jeune l’autre est retraité, mais ils s’aiment de cette amour vrai qui rend nos deux personnages sensibles et attachants.
Avant de lire le Tome 2 de Taniguchi, j’ai voulu avant relire le Tome 1, pour ne rien perdre de l’histoire. Et je dois reconnaitre que je suis ressorti de ma lecture encore une fois enchanté par les dessins de l’auteur, qui sait nous faire entrer dans son livre.
Pour les non-adeptes de la lecture de manga, je vous invite à lire un livre de Taniguchi, il y a des chances que cela vous fasse changer d’avis sur ce genre de lecture. Mon premier choix pour un manga de Taniguchi serait Quartier Lointain et le second serait Le manga présenté ici Les années douces Tom 1 et Tome 2.

Résumé :  "Tous les deux nous avions pris le train. Tous les deux nous étions montés dans le bateau. tous les nous étions arrivés dans cette petite auberge... Mais le maître a insité pour que nous prenions des chambres séparées."