Demain les chats, Bernard Werber ~ Le Bouquinovore

Auteur: Bernard Werber

Titre Original: Demain les chats

Date de Parution : 28 septembre 2016

Éditeur : Albin Michel

ISBN: 978-2226392053

Nombre de pages : 320

Prix : 20,90 €

Version Kindle : 14,99€

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Quatrième de couverture : Pour nous une seule histoire existait : celle de l'Humanité. Mais il y a eu LA rencontre. Et eux, les chats, ont changé à jamais notre destinée.

Mon avis : En 1991, j’avais un peu moins de 13 ans, lorsqu’un jeune auteur, a sorti un roman d’un genre nouveau, intitulé les fourmis, roman qui dès sa sortie a fait que toute une génération de jeunes ados, nous nous sommes mis à voir les fourmis sous un nouveau jour.

Et depuis cette fameuse année 1991, je n’ai de cesse, chaque année d’attendre la sortie du nouveau roman de Bernard Werber, l’un de mes trois auteurs français fétiche.

Fonctionnant par cycle, il est vrai que les thématiques semblent se répéter de temps en temps, mais l’on sent un véritable intérêt chez l’auteur dans l’évolution de l’humanité ou bien des alternatives à l’humanité.

J’aime lire Bernard Werber, car, avec sa plume, il sait transporter ses lecteurs dans son monde, son univers fantasmagorique, où les chats ont cette capacité de penser et reconstruire une nouvelle « humanité ». Cette folie douce chez l’auteur qui rend le plus incroyable possible.

Alors oui une année encore, je vous invite fortement à vous plonger dans son dernier roman « Demain les chats »

Et je tenais à faire remarquer que ces mêmes lecteurs pseudo-intellectuels qui hier encore me disaient que Stephen King était une lecture de gare et qui aujourd’hui l’adulent, me sortent le même discours avec Bernard Werber… Selon eux Bernard Werber n’est pas de la littérature, mais du divertissement masqué sous une fine couche scientifique. Bref, la vie se répète et semble-t-il, comme le fait remarquer Bernard Werber l’humanité tourne en rond et refait à chaque époque les mêmes erreurs. Avant Stephen King et Bernard Werber, cette même attaque était faite à Jules Vernes… Enfin moi, je dis ça, je ne dis rien.

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