Titre Original: The Scatter Here Is Too Great
Date de Parution : 20 août 2014
Éditeur : Stock
Nombre de pages : 216
Prix : 19,00€
Quatrième de couverture : Le monde n’a pas de fin est une ode à Karachi,
l’hommage d’un « écrivain dans la ville » qui ne veut pas qu’elle soit réduite
à sa violence. Il en rassemble les fragments pour voir au-delà des apparences
et faire surgir le monde fascinant d’avant l’islamisation forcenée, d’avant les
bombes. Dans le bus qui mène du centre ville à la mer, se croisent ainsi trois
générations de personnages qui racontent leur histoire : le père magicien,
l’écolier repenti, le Camarade poète Sukhanza, le caïd amoureux, le diseur de
mauvaise aventure…
« Quand on raconte une histoire à quelqu’un, nous sommes dans le même
monde », écrit Bilal Tanweer et, avec lui, on aime cette ville bruyante et
vivante en toutes circonstances.
Mon avis : Sans Valentine du Service Presse
des Éditions Stock, jamais je n’aurais lu ce roman. Et là aurait été mon
erreur. Je ne suis pas très fort en prédictions mais je crois sincèrement que
ce roman fera parler de lui pendant cette Rentrée Littéraire.
Un roman d’une grande poésie, des
bribes de vie entrelacées et relié par le même événement (un attentat). Tous on
un point commun le vieux fou de poète et communiste, à la fois père, grand père
ou encore personnage extravagant rencontré dans un bus.
Ce bus aussi est un point d’encrage
de toutes ces histoires de vie qui se croisent et s’entrecroisent.
En lisant ce livre, vous lirez des histoires dans l’histoire écrite avec
la magnifique plume de Bilal Tanweer.
Alors vous aussi plongez-vous dans l’expérience littéraire de ce roman «
Le monde n’a pas de fin ».