L’apologie de Strauss-Kahn, Frédéric Mathieu

Auteur: Frédéric Mathieu
Titre Original: L’apologie de Strauss-Kahn : La comédie Hymen
Date de Parution : 28 février 2014
Nombre de pages : 340
Prix : 0,89€

Quatrième de couverture : Charles-Augustin Sainte-Beuve, littérateur de son état et poète à seize heures (mais plus à seize heures trente), faisait valoir que pour comprendre un personnage, il fallait commencer par se demander comment il s'était comporté dans les domaines de la sexualité, de l'argent et de la politique. C’est à passer Strauss-Kahn, ex-favori de la Socialie et d’Annal +, au prisme de cette Trinité vireuse que se dédie ce présent opuscule – énième sur le créneau, mais seul de sa catégorie. Une biographie tantôt humoristique, tantôt philosophique, confondant sans scrupule exploration, dissertation et science-friction, passages chroniques et romanesques pour une rétrospective haute en couleur de l’année 2012 (il y a des anémones et d’autres plus mauvaises). L’on y trouvera à boire et à manger, et tout le reste à lavement. Signe des temps, l’Apologie de Strauss-Kahn s’inscrit sous ces auspices dans les ornières de la monumentale bibliothèque de la comédie hymen.

Sur le chemin des échos liés, nous croiserons, « au nom de la prose », des marquis de stade oral, des replètes aux flancs beaux, des esculapes de veau, d’illustres éditocrottes bien trop au lit pour être inertes, des pigistes de corvée de lettrines, des patrons de presse-purée, des loques à terre et des amateurs d’ares, des embrouillaministres, des guignols de l’impôt, des commissions de sangsues, des Porsches casher, des gardes-chastes langues de vicaire, des brêles de nuit du bois de bowling, des ascètes à désert et autres experts en relations bibliques, beaucoup de nains présionnistes et de trans atlantiques, des Afghans de toilette, des sourates et des hommes, des candidats képis–conformes et bon pour le sévice, des pizzas, des mohairs, des oryx, d’élégants barils ; mais également Saint Augustin, Platon (de fromage) et BHL (chercher l’intrus). Un voyage dans les spasmes jusqu’aux boues de la nuit…