Titre Original: Close encounters of the third Kind
Date de Parution : 1979
Éditeur : J’ai Lu
Nombre de pages : 224
Prix : A partir de
0.01€ d’occasion
Quatrième de couverture : Metteur en scène de télévision et de cinéma,
Steven Spielberg a écrit et réalisé ces Rencontres du troisième type, qui ont
connu un extraordinaire succès international.
Un soir, dans l'Indiana...
Câbles électriques soudain volatilisés, transformateurs grillés, et tout
l'Etat se trouve englouti dans une obscurité totale. Panique, affolement...
Appelé par sa Centrale, l'ingénieur Roy Neary roule en aveugle, tendu,
inquiet pour Barry, un petit voisin, qui a disparu comme attiré par l'étrange
mélodie qui s'élevait dans l'ombre.
Soudain le moteur cale. Derrière lui, Neary voit approcher un engin aux
phares aveuglants qui le dépasse en le survolant et lui barre la route. Des
signaux lumineux, une mélodie — la même mélodie... Et tout s'efface !
Au matin, tout semble rentrer dans l'ordre, l'affaire est « étouffée
»...
Et pourtant, une image désormais obsède Roy : une montagne au sommet
tronqué. Qu'il lui faut situer. C'est là, il le sent, il sait, qu'il a
rendez-vous. Et pas seulement avec le petit Barry...
Mon avis : Il y a longtemps que je n'étais pas
parti faire un tour dans le Grenier Familial, lieu de tous les trésors de
lecture de mon enfance. Cette fois-ci, j'ai dégoté : Rencontre du Troisième
Type écrit par Monsieur Steven Spielberg lui-même.
Et là, c'est le choc ! Le film est
génialissime... Les plus jeunes d'entre vous diront : « Euh les effets spéciaux
sont pourris » et je leur répondrai « Mon garçon, le film est de 1978, le
fondateur de Google avait 5 ans à l'époque, l'ordinateur faisait plusieurs
centaines de kilos et la souris de ce dernier n'avait pas encore vu le jour,
alors ne la ramène pas avec tes effets spéciaux en images de synthèse, dans ces
années-là, c'étaient carton et caoutchouc les rois des effets spéciaux... »
Excusez-moi, je m'emporte.
Revenons-en à notre livre. Et bien, que vous dire, Steven Spielberg est un
réalisateur de génie, mais un piètre écrivain, je vous l'assure. On retrouve
l'intégralité du film posé sur papier avec très peu de style qui rend ce chef
d'œuvres assez ridicule soyons honnête.
Conclusion, pour le coup la
novélisation faite par Steven Spielberg n'est pas bonne, il faut le
reconnaître, mais pour le plaisir d'avoir le livre dans sa bibliothèque ce n'est
pas mal. Et après cela vous permettra d'avoir de longue discutions avec ces
p'tits jeunes irrespectueux des effets spéciaux de notre enfance...
Moi, je vous le dis haut et fort,
entre images de synthèse et carton-pâte... Je vote carton-pâte...J