Titre Original: Mile 81
Date de Parution : Septembre 2011
Éditeur : Scribner /Plaza & Janes
Éditeur : Scribner /Plaza & Janes
Nombre de pages : environ 80
Lu : Aout 2012
Prix : 2,20€ Version
anglaise 1,99€ version espagnole
Résumé : Zone 81 est une aire d’autoroute abandonnée et
fermée déjà depuis un certain temps. Pete Simmons, un curieux garçon de 10 ans,
décide d'aller avec son vélo dans cette zone déserte où il sait que les garçons
les plus âgés vont fumer, et faire de petites sauteries avec les filles. Et il
y a une bouteille à moitié pleine de vodka il décide d'essayer. Pete vient de
boire et quand il se réveille, il trouve une voiture garée là, une voiture
banalisée et couvert de boue. La porte est entrouverte, mais ne vois personne à
l'intérieur ...
Une voiture qui sans aucun doute rappellera
les romans précédents comme Christine ou Buick 8. Un clin d'œil aux lecteurs
qui ont noté ce roman comme «un délice, un classique, un roman magnifique,
effrayant ..."
Mile 81, l'édition anglaise de la zone 81, a été publié en Septembre
2011, devient un best-seller quelques heures après le début de sa vente vendus.
Mon avis : Je n'ai pas tendance à lire en
espagnol, mais depuis quelques temps je m'étais promis de lire Área 81
lorsqu'il serait traduit en français, mais le temps passe et je ne l'ai
toujours pas vu traduit. Alors j'ai décidé de m'acheter l'ebook dans la langue
de Cervantes.
Encore une fois Stephen King nous
propose une histoire de voiture maléfique, d'ailleurs au cours de la lecture l'auteur
fait référence au film Christine.
L'histoire se déroule sur l'aire
d'autoroute 81, aire d'autoroute abandonnée. Une voiture pleine de boue percute
les tonneaux orangés indiquant que cette aide n'est plus en fonctionnement.
Étrangement personne ne sort du véhicule. Plusieurs voitures s'arrêteront pour
savoir ce qui se passe pourquoi un, et petit à petit plusieurs véhicules sont
stationnés la sur l'aire d'autoroute. Et invariablement le véhicule plein de
boue non identifiable entre une Ford et une Chevrolet, attire ses victimes pour
les dévorés seul des enfants s'en sortiront.
Je ne vous en dirais pas plus sur
cette nouvelle de Stephen King, car j'espère qu'elle finira par être traduit en
français.
Je ne suis pas forcément très bon
dans les critiques de Stephen King, car Stephen King c'est quand même Stephen
King, toujours content jamais déçus. Même si j'ai lu cette nouvelle en
espagnol, je suis rentré dedans, je n'ai pas lâché ma liseuse avant d'avoir
fini cette courte nouvelle.
Il va de soit que cette lecture rentre
dans le cadre du Challenge Stephen King 2012, même si j’ai déjà lus un livre
pour la décennie 2000’s…