Auteur: Iqura Sugimoto
et Sadamoto Yoshiyuki
Titre Original: Summer Wars, Tomes 1,2 et 3
Date de Parution : 2009
Éditeur : Kazé
Éditeur : Kazé
Nombre de pages : 3 X 208
Lu : Juin 2012
Prix : 7,69€
7,31€
Quatrième de couverture : Kenji, un lycéen timide et surdoué en
mathématiques, effectue un job d’été au service de la maintenance d’OZ, la
plateforme communautaire d’Internet qui regroupe des millions de personnes à
travers le monde. À sa grande surprise, la jolie Natsuki, la fille de ses
rêves, lui propose de l’accompagner à Nagano, dans sa maison familiale, pour
l’anniversaire de la matriarche du clan Jinnouchi. Mais ce qui promettait
d’être une simple fête de famille va rapidement prendre une tournure bien plus
belliqueuse…
Mon avis : Je crois que je fais parti des
quelques rares lecteurs de ce manga, qui n’est pas vu le film auparavant et que
je ne verrai certainement pas non plus. Non que le manga (papier) soit mauvais,
bien au contraire, mais voila ce n’est pas trop le genre de manga qui me plait.
Je ne suis pas très fort en explication graphique, mais entre autre chose, je
ne suis pas très fan du graphisme, tu coup de crayon du mangaka.
Vous me direz : ais pourquoi
donc a tu lus cette saga et en plus jusqu'à la fin ? je l’ai lus jusqu'à la
fin car au final la série est assez court trois tomes. Mais aussi car l’histoire,
la thématique du livre est intéressante.
Kenji lycéen surdoué en mathématique
est chargé de la surveillance du réseau social Oz, dans le même temps, la fille
de ses rêve lui propose le job de ses rêves : partir en week-end avec
elle. Mais les problèmes ne font que commencer, le réseau social Oz est
tellement omniprésent dans la vie de tout les jours que lorsqu’arrive l’intelligence
artificiel Love machine pour prendre procession de l’ensemble des comptes
utilisateurs, la vie réelle s’en trouve affecter, tellement affectée que la
monde réel est en danger.
J’ai beaucoup aimé cette thématique
certes pleine d’imagination et d’excentricités sur l’influence que peut avoir
un réseau social sur la vie réelle. Pardon ? Quoi ? Non, non je n’ai
pas insinué que Oz ma fait penser a Facebook !
Mais j’en viens à me poser des questions
sur les dangers de Facebook ou bien encore Google et leur influence chaque jour
plus grand sur notre société.