Les trois lois de la Robotique d’Isaac Asimov


Je suis bien incapable de vous dire le pourquoi du comment j’en suis venu à discuter avec un ami  des trois lois de la Robotique définit par Isaac Asimov. Pour résumé la situation, un café,  du soleil, une terrasse et le sujet comme ça qui tombe sans prévenir : « Tu t’imagine un monde où nous n’aurions pas à travailler et que des robots le feraient pour nous.. » et là de fil en aiguille, « Tu connais les trois lois de la Robotique d’Isaac Asimov ? »…


Isaac Asimov, né vers le 2 janvier 19202 à Petrovitchi et mort le 6 avril 1992 à New York aux États-Unis, est un écrivain américain, naturalisé en 1928, surtout connu pour ses œuvres de science-fiction et ses livres de vulgarisation scientifique.

Toutes les nouvelles de robotique publiées par l'auteur ont été regroupées dans deux grands recueils nommés Le Grand Livre des robots. Le premier tome — Prélude à Trantor — regroupe toutes les nouvelles de robotique — Nous les robots ainsi que Les Cavernes d'acier et Face aux feux du soleil. Le second tome — La Gloire de Trantor — regroupe Les Robots de l'aube, Les Robots et l'Empire, Les Courants de l'espace, Poussière d'étoiles et enfin Cailloux dans le ciel.

Il renouvelle complètement ce thème en inventant des « robots positroniques » gouvernés par trois lois protégeant les êtres humains et, a priori, parfaites et inviolables. Le jeu d'Asimov consiste à imaginer des situations révélant des failles de ces lois (exemple : un robot peut-il, restant passif, laisser un humain fumer une cigarette ?) et des bizarreries de comportement de robots qui semblent les enfreindre, puis à faire découvrir au lecteur comment cela est possible, à la manière d'une enquête policière.

Les trois lois de la Robotique d’Isaac Asimov

Un robot ne peut porter atteinte à un être humain, ni, restant passif, permettre qu’un être humain soit exposé au danger.

Un robot doit obéir aux ordres que lui donne un être humain, sauf si de tels ordres entrent en conflit avec la première loi.

Un robot doit protéger son existence tant que cette protection n’entre pas en conflit avec la première ou la seconde loi.