Titre Original: Et puis, Paulette…
Date de Parution : 2012
Éditeur : Calmann-Levy
Éditeur : Calmann-Levy
Nombre de pages : 320
Lu : Mars 2012
Prix : 15,50€
14,73€
Quatrième de couverture : Ferdinand vit
seul dans sa grande ferme vide. Et ça ne le rend pas franchement joyeux. Un
jour, après un violent orage, il passe chez sa voisine avec ses petits-fils et
découvre que son toit est sur le point de s’effondrer. À l’évidence, elle n’a
nulle part où aller. Très naturellement, les Lulus (6 et 8 ans) lui suggèrent
de l’inviter à la ferme. L’idée le fait sourire. Mais ce n’est pas si simple,
certaines choses se font, d’autres pas…
Après une longue nuit de réflexion, il finit tout de même par aller la chercher.
De fil en aiguille, la ferme va se remplir, s’agiter, recommencer à fonctionner. Un ami d’enfance devenu veuf, deux très vieilles dames affolées, des étudiants un peu paumés, un amour naissant, des animaux. Et puis, Paulette…
Mon avis : Je n’ai jamais été déçus par les
romans de Barbara Constantine, que se soit Mélie sans Mélo ou bien encore TomTom, tout petit homme Tom . Encore une fois avec Et puis, Paulette… j’ai eu un très
bon moment de lecture. Un roman avec un univers tendre, léger que seul l’auteur
sait nous faire partager. On lit Barbara Constantine parce qu’elle nous fait
découvrir des histoires tendres, pleines d’humanités.
Dans ce nouvel opus, il est question
d’une ferme, un vieux bourru du nom de Ferdinand qui au fur et à mesure des
pages grâce à un petit input de ses petits enfants, fera de sa vielle ferme
vide un lieu de vie pour tous, des plus jeunes aux plus vieux…
On se prend d’affection pour les
personnages de ce livre qui on tous un petit truc qui les rendent attachant.
Je ne serai que vous dire, sauf peut
être qu’il vous faut lire ce livre. SI vous me demandez pourquoi ? Tout
simplement pour découvrir un livre frais, léger, remplie de pages de bonheur et
de solidarité.