Petite révolution pour le Bic Cristal, maintenant il fait aussi Stylet


Le mythique stylo BIC Cristal, vient de connaitre un petit changement, lui donnant un petit look moderne et surtout utile dans ce nouvel air des smartphones et tablettes. L'incontournable Bic Cristal, vient de se voir ajouter un petit bout de caoutchouc qui permet de transformer nos stylos à bille en véritable stylet pour tablette.

Malgré le fait que nos smartphones et tablettes n'ont besoin que d'un petit doigt sur son écran, l'utilisation d'un stylet n'est pas à négliger. Car le Stylet et particulièrement utile, lorsque nous cherchons la précision du trait et aussi les marques de doigts sur l'écran.

Selon moi, le Bic Cristal Stylus entrera dans l'usage quotidien à la manière de sa version originale, sans l'ombre d'un doute. Il concilie à la perfection le papier et le multimédia, un seul stylo pour les deux. Ce sont les fabricants de Stylet qui de leur côté ne doit pas voir d'un très bon œil l'arrivé sur le marché de ce nouveau produit. Car au contraire de ces derniers, sont prix est plus que raisonnable environ 1.95€ l'unité.

Maintenant qu'il existe, nous pouvons nous demander comment il n'est pas apparu avant, car comme nous le savons tous, un écran tactile fonctionne grâce à l'électricité statiques produit par le doigt sur l'écran tactile, pour se faire l'astuce est en soit assez simple en ajoutant une pointe molle, avec une petite pellicule métallique qui permet la transmission de cette électricité.

Après utilisation dudit stylo, je peux vous confirmer que son utilisation sur portable (Nexus 5) est très agréable et fluide, cependant, j'ai pour ma part un peu plus de mal à l'utiliser sur tablette (Ipad) où la pression doit être légèrement plus forte que sur un portable
Il est devenu l'objet indispensable de mon quotidien après à peine un mois d'utilisation et avec ce prix plus que raisonnable, je n'ai pas peur de l'user...

Je ne doute pas un instant que le Bic Cristal Stylus fera monter en flèche la vente de stylets en France et ailleurs.






Cette chronique, malgré les apparences, n’est pas un article sponsorisé.